dimanche 28 décembre 2014

Le chaînon manquant

Comme vous l'avez tous appris à l'école, l'évolution de l'homme se manifeste en plusieurs étapes de transformation. partant du plus ancien homme trouvé en chine plus précisément appelé "l'homme de Lantian", vieux de 600 000 ans, passant par l'australopithèque, l'homo erectus, l'homme moderne, l'homo sapiens et l'homme de Néanderthal. Tous ces noms pour indiquer clairement que l'évolution proprement parlé est bien défini et carré. Mais la réalité en est tout autre.


L'homme ne descend pas du singe. une théorie qui pour toujours est controversée et qui restera dans l'éducation des écoles. On nous inflige une base qui serait cohérente pour nous les cartésiens, et pour qu'on ne puisse pas voir plus loin que le bout de l'histoire, puisque tout à été pré-établie.


lundi 3 novembre 2014




Une découverte qui va vous surprendre au Mexique, et plus particulièrement à Téotihuacan. Récemment mis à jour par certain site de fouille au Tunnel des Dieux. Depuis 1800 ans on été enseveli des offrandes à l'entrée de la pyramide du serpent à plume. voici quelques détails supplémentaires : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/mexique-d-importantes-decouvertes-archeologiques-a-teotihuacan_1618221.html

mercredi 21 mai 2014

L'extinction de l'homme de Neandertal



L'homme de Néandertal a t-il été victime de l'homme moderne ?

Cette espèce a disparue il y a 25 000 ans durant la dernière grande glaciation.

pendant  la période de "l'Aurignacier" -37 000 à -28 000 avant le présent, il a cohabité avec l'homme moderne (homo sapiens), venu d'Afrique, plus intelligent et mieux organisé.

L'homme de Néandertal est longtemps considéré comme une espèce à part entière. La découverte potentielle en 1995 d'un ancêtre proche commun à homo Sapiens et à homo Neandertalensis remet en cause cette théorie.

Les raisons de l'extinction de l'homme de Neandertal ont fait l'objet de théorie diverses : chute brutale des température, intoxication alimentaire, consanguinité, épidémies, hybridation. Aucune ne suffit à expliquer la disparition de tout un groupe humain.

Le séquençage de l'ADN mitochondrial des ossements à permis d'établir une correspondance de 99,5% du génome néandertalien avec celui de l'homo sapiens.

Les interprétations des tests ADN divergent. Pour certain spécialistes, c'est la preuve d'une hybridation. Pour d'autre, les gène sont l'héritage d'un ancêtre commun aux deux groupes.

vendredi 1 juin 2012

Une tête de cheval, nouvelle découverte d'art pariétal en Ardèche

Une peinture rupestre vient d’être découverte dans une grotte ardéchoise. Cette tête de cheval serait caractéristique de l’époque magdalénienne, comme pour Lascaux. Mais contrairement aux sites de Lascaux et Chauvet, la peinture est isolée, seule dans la grotte, peinte en hauteur.

Découverte par hasard lors d'un tournage, dans une grotte explorée de nombreuses fois, cette tête de cheval peinte doit maintenant être datée par les paléontologues.


Nombreux sont les spéléologues ardéchois à la recherche perpétuelle de grotte en général et de grottes ornées en particulier. Ce fut le cas de Jean-Marie Chauvet, Éliette Brunel et Christian Hillaire, les découvreurs de la Grotte Chauvet classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Ils n'ont que peu bénéficié de leur découverte et se battent en justice pour faire valoir leurs droits. Aujourd'hui ils continuent de chercher des grottes ornées. Pas sûr que ces passionnés, au vu de leur expérience, fassent beaucoup de publicité autour de leurs découvertes

Cette peinture serait vieille d'au moins 17 000 à 20 000 ans !

vendredi 16 mars 2012

En images : le peuple du cerf rouge, une espèce humaine jusque là inconnue


Les résultats d’analyses menées par une équipe de chercheurs chinois et australiens sur une série de fossiles découverts en Chine semble indiquer la découverte d’une nouvelle espèce humaine jusqu’à présent inconnue. L’espèce en question, baptisée "peuple du cerf rouge", aurait vécu à une période allant de 14.500 à 11.500 ans avant J.C.

lundi 12 mars 2012

Retour aux sources

Sans chercher le paradoxe du "Pot de chambre de la normandie", une plaque d'égout, place St Marc, représentant un mouton, permet de passer de l'héraldique à l'eau. Thème fort à Rouen. Les exemples sont légion.Ainsi, l'axe de roue du passage des anciens moulins rappelle que le Robec serpentait en centre ville.






Fontaines, puis bassins pululent et les représentations artistiques font bon ménage comme au jardin des plantes avec la statue "Migrations", ou à la Grande Mare avec les statues fontaines des "Muses" et des "Musiciens". Juste à côté, le Service des Eaux conserve le seul élément décoratif de l'ancienne fontainte des Carmes. On trouve aussi des canalisations admirablement décorées, tel le collecteur d'eau pluviale de la maison natale de Pierre Corneille.


Nautilus et Niphargus
Les histoires d'eau se déclinent partout. Les marégraphes étaient des accumulateurs hydrauliques alimentant les grues pour décharger les navires. Une plaque sur la première tour mentionne l'expérience du "citoyen américain" Fulton qui "En Seine... du 24 au 31 juillet 1800... procéda aux premières expérimendations de navire submersible Nautilus..."
Plus confidentielle, dans une réserve municipale, une plaque jadis rue Martainville, rappelle que les bains-douches, héritiers des "bains en pluie" sont l'invention du docteur Merry Delabost, médecin à la prison Bonne Nouvelle.
Sans oublier le petit patrimoine vivant au collège Barbey d'Aureville. On y rencontre une habitante insolite, la Niphargus, petite crevette cavernicole blanche et aveugle, dans un ruisselet souterrain qui acheminait l'eau vers l'un des puits de la ville.
A l'est, près du Pré aux Loups on pouvait "prendre les eaux" au bon vieux temps... quand Rouen était station thermale. Plus insolite, au 32 de la rue St Nicolas, c'est l'illustration parfaite de Rouen port de mer avec façade, un plateau de fruits de mer alléchant, et côté ouest de la ville, le couvent troglodytique Ste Barbe de Canteleu qui dévoile une "cave à sel" et des grottes ornées de graffiti marins.
Enfin, rue d'Ernemont, le manège du Cours Notre-Dame trône dans la cour de réclamation. C'était à l'origine un manège à cheveaux pour puiser l'eau et irriger les vergers du couvent.

mardi 6 mars 2012

Des momies étudiées au CHU de Rouen !

Deux momies passent sur le billard à l’hôpital Charles-Nicolle de Rouen dans le cadre d'une étude du musée Flaubert et d’histoire de la médecine du CHU-Hôpitaux de Rouen !


Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine du CHU-Hôpitaux de Rouen mène une étude complète sur les momies égyptiennes d’un homme et d’une femme qu’il possède dans ses collections permanentes.


“Une mine d’informations”




L’enquête du CHU de Rouen permettra de connaître, d’ici environ 4 mois, l’âge des momies, la cause de leur mort, leurs maladies, leur régime alimentaire, la façon dont leur corps a été préparé, bref “une mine d’informations”, pour le CHU.
Au programme : examens médicaux au scanner, prélèvements histologiques, de cheveux et de dents afin de préciser l’âge et la cause de la mort. Des prélèvements de bois, textile et cuir permettant une datation au carbone 14 ont été effectués par le Centre de Restauration et de Recherche des musées de France (C2RMF). Une expertise du sarcophage et de sa polychromie est aussi prévue ultérieurement.
Hélène Guichard, conservatrice au département des Antiquités égyptiennes du musée du Louvre, a accepté de venir au musée et d’apporter son expertise lors des examens. Elle a «certifié conforme» l’origine égyptienne de la momie de femme. Enfin, Laure Cadot, restauratrice spécialisée en conservation de restes humains, s’est chargée de la préparation et du conditionnement des momies avant leur transport à l’hôpital Charles-Nicolle, et a supervisé leur délicate manipulation.


L’homme n’était pas égyptien !


«En attendant les résultats définitifs, on peut désormais affirmer que la momie de femme est véritablement égyptienne, sans doute d’époque ptolémaïque (N.D.L.R. : des pharaons) à gréco-romaine et a été préparée selon la tradition égyptienne car des sachets canopes (N.D.L.R. : en résine) ont été détectés grâce au scanner, véritable surprise révélée par l’imagerie médicale !», indique le CHU.
«La momie d’homme, jugée atypique car munie d’accessoires – chaussures-prothèses en cuir, chasse-mouches et tablier – elle, n’est pas égyptienne, des investigations sont encore à envisager pour connaître sa provenance.»